Jour 129 – Bangkok #2

Ce matin, j’attends à l’hôtel de pouvoir transférer mes affaires dans la chambre familiale. Je profite de ce temps d’attente pour re-travailler le programme du séjour en Thaïlande. En début d’après-midi je pars en excursion, avec pour but de rejoindre le réseau de métro pour aller ensuite à l’aéroport.

Je passe par la rue des backpackers… et je me félicite d’avoir choisi un hôtel plus loin. Je trouve l’ambiance détestable, comme souvent dans ces rues concentrant plein de bars à l’occidentale. Aussi, les prix de la nourriture se trouve doublé voir triplé par rapport à ailleurs, bref je m’en éloigne aussi vite que j’y suis arrivé. Je passe par plein de petites rues très traditionnelles, je vois pas mal de temples, et tout ça m’amène au final jusqu’au quartier chinois. Changement radical d’ambiance, les écritures chinoises sur les affiches et façades deviennent prédominantes, les mini-ruelles traversent le quartier et sont envahies de restaurants et de diverses boutiques. C’est un dépaysement total, j’ai presque l’impression d’avoir changé de pays.

Je me dirige ensuite vers la gare, et une agence de voyage repérée et recommandée pour faire une vérification par rapport au programme. Histoire d’être sûr que tout est vraiment faisable ! Le bâtiment de la gare date du début du 20ème siècle, et dénote franchement par rapport aux architectures environnantes. Surtout que à partir de cet endroit, c’est le Bangkok moderne qui commence, celui des grands gratte-ciels et des grandes avenues. Pour moi, c’est aussi le moment de découvrir le métro, dans sa partie souterraine. Il est ultra moderne, je suis vraiment impressionné ! Je change pour récupérer une des lignes aériennes du métro, qui elle file jusqu’à l’aéroport. Je calcule mal mes temps de trajet et je me retrouve à attendre un bon moment à l’aéroport, mais mieux vaut ça que l’inverse ! J’ai donc bien retrouvé me mère, François et Alex. Nous sommes retournés vers le centre avec la même ligne de métro, puis avec un taxi (que j’ai essayé de négocier au mieux) pour les derniers kilomètres. Ils sont bien fatigués après le voyage qui a commencé hier pour eux. Nous sortons juste manger dans le quartier et tout le monde au lit ! Une bonne nuit et le décalage horaire devrait être oublié. Avant d’aller au lit j’ai quand même le droit d’avoir mes « cadeaux », ils ne sont pas arrivés les mains vides et j’ai droit à un énorme plein de gâteaux ! Quand on est gourmand on ne se refait pas !